3. Mit Bernd-Wolf Dettelbach im Atelier

Darstellbarkeit und Wahrnehmbarkeit

3.Die Ergebnisoffenheit der Anderen

von Thomas Kaestle

Ein Allgemeinplatz? Ergebnisoffenheit als längst von allen erkannte, akzeptierte und umgesetzte Bedingung für das Zustandekommen von anschlussfähiger Kultur? Von kulturellen Projekten und Prozessen mit Konsequenz und Konsequenzen? Wer den Begriff ‚Ergebnisoffenheit‘ in Googles Suchfeld eingibt, stößt tatsächlich auf sehr wenig Kultur. Vielmehr scheint sich das Konzept in anderen Bereichen fest etabliert zu haben. Im Management: zentral. In der Bildung: zumindest als zental behauptet. Wo Bildung und Kultur sich begegnen, in ästhetischer und kultureller Bildung, in Vermittlungsprojekten: wesentlicher Begriff einer Jahrzehnte langen Wandlung. Hin zu gleichberechtigten Bedeutungskonstruktionen. Weg von wissenschaftlich vorgedachten Wahrheiten. Weg vom potentiell abwertenden und ausschließenden Wahr/Falsch und hin zu einer wachsenden Bedeutung des Passens. Der Rezipient hat deutlich an Bedeutung gewonnen, seit Wolfgang Kemp im didaktischen Begleitbuch zur documenta X über eine erstarkende „Viewer Liberation Front“ spottete (und ich mir vornahm, mir irgendwann den fiktiven Mitgliedsstempel dieser VLF auf mein Handgelenk tätowieren zu lassen). In der Peripherie der Kultur hat sich die Ergebnisoffenheit etabliert, mal als anstrebenswertes Ideal, mal als notwendige Grundlage des Erfolgs. Doch wie sieht es damit aus in Kulturpolitik, Kulturverwaltung oder Kulturförderung?
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http://www.zebrabutter.net/ergebnisoffenheit-darstellbarkeit-und-wahrnehmbarkeit.html

3.L’ouverture d’esprit chez les autres

Un lieu commun? L´ouverture d’esprit (celle établie et reconnue de tous) accepte-t-elle de mettre en oeuvre les conditions nécessaires pour l’éventuelle réalisation d’une correspondance culturelle? ou encore, peut-elle accepter le développement de projets culturels ainsi que leurs processus relatifs et ses conséquences à venir? Qui cherche le terme d‘ „ouverture d’esprit“ avec l’outil Google, se heurte à bien peu de culture. Il semblerait surtout que cette notion se soit imposée dans bien d’autres secteurs. Dans le management: central. Dans l’éducation: on peut au moins le supposer. Où l’éducation et la culture se croise, dans l’apprentissage esthétique et culturel, dans les projets de médiation: une notion essentielle, une consécration ayant prit des décennies,loin de toutes signifiantes constructions  égalitaires, loin de tout chemin aux vérités et aux approches scientifiques. Le destinataire a clairement gagné en signification, en particulier depuis que Wolfgang Kemp, dans son catalogue didactique sur la Dokumenta X, se moqua au sujet de l’affermissement du „Front de Libération des visionneuses“ -Viewer Liberation Front“-. (et moi, je projetai déjà, un jour ou l’autre, de me faire tatouer le tampon fictif des adhérents de ce „V L F“ sur mon avant-bras. L’ouverture d’esprit, des fois aspirant à une valeur idéale ou encore base nécessaire à la réussite, s’est établie à la périphérie de la culture. Mais qu’en est-il exactement avec la politique, l’administration et autres promoteurs du développement culturel?
über eine erstarkende „Viewer Liberation Front“ spottete (und ich mir vornahm, mir irgendwann den fiktiven Mitgliedsstempel dieser VLF auf mein Handgelenk tätowieren zu lassen). In der Peripherie der Kultur hat sich die Ergebnisoffenheit etabliert, mal als anstrebenswertes Ideal, mal als notwendige Grundlage des Erfolgs. Doch wie sieht es damit aus in Kulturpolitik, Kulturverwaltung oder Kulturförderung?

2. Helmut Hennigs Video Mapping


Darstellbarkeit und Wahrnehmbarkeit
2. Irgendwas mit Kultur

Hier kommt der Text ins Spiel. Mein Text. Dieser Text. Als Jean-Robert Valentin mich beauftragt, für sein Projekt zu denken und zu schreiben, gehe ich zunächst davon aus, dass er das Übliche will: Texte über die beteiligten Künstler, ihre Kunst und deren Bezüge. Assoziationsrahmen, Vermittlungsangebote, Einführungen. Katalogtexte. Eröffnungsreden. Es dauert, bis ich zunächst begreife, dass er nur einen einzigen Text braucht, den er mich vortragen lässt, um mich dabei zu filmen. Dass dieser Text ein eigenständiger Teil seiner Präsentationen sein soll, ein wenig Subtext, viel mehr aber noch Metatext. Eine übergreifende Parallelerzählung als Baukasten, Steinbruch oder Fundus für Valentins digitales Sampling. Gleichberechtigtes Material. Die eigentliche Herausforderung jedoch liegt in der Festlegung des Themas des beauftragten Textes. Oder eben vielmehr in deren fast völligem Fehlen. Größtmögliche Offenheit, Freiheit für eigene Setzungen. Nicht einmal um Medienkunst muss es gehen. Nicht einmal um zeitgenössische Kunst. Nicht einmal um Kunst. Eine Position zur Kultur solle es aber doch sein. Irgendwas mit Kultur also. Und wieder einmal die Binsenweisheit, oft genug schon mit Künstlern und Beziehungspartnerinnen erörtert: „Total freedom is like no freedom at all“. Oder als These zum Thema „irgendwas mit Kultur“ formuliert: Kultur findet statt auf dem Grat zwischen Festlegung und Beliebigkeit. Nennen wir diesen schmalen Möglichkeitsraum doch: Ergebnisoffenheit.

Ganzer Text unter:
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Traduction:
2.Un truc avec de la culture

C’est maintenant qu’intervient le texte. Mon texte. Ce texte. Quand J.-R. V. me confia cette tâche, pour disserter et écrire sur son projet, je supposais, dans un premier temps,  qu’il désirait tout ce qu’il y a de plus habituel: un texte dédiés aux plasticiens invités, leurs manières d’agir et références respectives. Le cadre conventionnel, les propositions de médiation et tout autres introductions. Texte pour les catalogues et discours inauguraux . Ceci a un peut duré jusqu´à je comprenne qu’il n’avait besoin que d’un seul texte, ou plutôt  d’un discours et de ma personne destinés á être filmés. Ce texte avec son propre caractère, ses sub-textes et meta-textes devrait faire partie intégrante de la présentation, une narration parallèle et globale destinées à une banque de données, encastrables à l’image d’un jeu de construction pour les , d’échantillons de J.-R. V.. En fait, le défi était de déterminer le sujet du texte commandé, ou bien plus  encore, d’envisager ce qui dorénavant me venait à manquer, très certainement, limpidité et propre liberté d’application. Il ne s’agissait même plus d’art numérique, même plus d’art plastique, même plus d’art contemporain. Cela devait être une réflexion sur la culture. En fait, quelque chose avec de la culture.  Une fois de plus cette évidence, souvent aussi relative à la vie privée, je dirai plus, cet objet de dissertation: La liberté totale c’est comme pas de liberté du tout. Ou encore, en tant que thème pour cette thèse, formuler „Un truc avec de la culture“. La culture se trouve à la lisière des valeurs établies et de celles que l’on est prêt à accepter. Déterminons un nom à cet espace possible restreint: L´ouverture d’esprit.

1.TRAILER

Ergebnisoffenheit als Bedingung für Kultur
Remix und Sampling

von Thomas Kaestle
https://www.zebrabutter.net/autoren/thomas-kaestle/

Der Kontext entscheidet. Immer. Und dieser Kontext klingt ambitioniert.
Jean-Robert Valentin, Medienkünstler in Hannover, zeigt in sechs Monaten sechs Präsentationen. Mit jeweils einem Kollegen aus Hannover. An jeweils zwei Orten, in jeweils zwei sehr unterschiedlichen Formaten. Einerseits werden die Exponate in einem Ausstellungsraum in der Stadt installiert. Digital zwar in den jeweiligen Projektionen, Video- und Fotoformaten, Rahmensetzungen und Bearbeitungen. Aber dennoch körperlich erfahrbar in einem analogen Raum. Andererseits werden die Arbeiten parallel in einem digitalen Showroom gezeigt, einem Blog mit dem altmodisch anmutenden Namen
artclubhannover. (Kann eine öffentlich zugängliche Website ohne Zugangsbeschränkung ein ‚Club‘ sein? Lebt das Konzept ‚Club‘ nicht vielmehr von Selektion und Exklusivität?) Sie können dort zwangsläufig keine identische Form haben, müssen sich den räumlichen und sinnlichen Möglichkeiten des Mediums unterwerfen. Und können sich darin zugleich zu etwas Neuem entwickeln. Über die bloße Abbildung oder Wiedergabe hinaus, jenseits des Dokumentarischen. Jean-Robert Valentin, der auch als
Visual Jockey mit der Verschränkung von visuellen und auditiven Ebenen arbeitet, bedient sich hier der Technik des Remix, er wählt aus, fügt hinzu, kombiniert neu, verdichtet – und erzählt. Die erste Staffel seiner Webserie, mit den ersten sechs Episoden entsprechend den ersten sechs Künstlern und Präsentationen, entwickelt eine eigenständige Narration, in der Valentin seine Rolle als Kurator schnell überwindet und zum Autor wird. Zu einem allerdings, dessen Ausgangspunkt Samples des kuratierten Materials sind.

Ok,… voilà la traduction française:
Le contexte fait la différence. Toujours. Et ce contexte semble ambitionné. JRV, plasticien résidant à Hanovre, présente en six mois six positions dédiées à six collègues de cette même ville et ceci en deux places, sous deux formats, le moins que l’on puisse prétendre, différents. D´une part, les pièces seront exposées à la galerie du centre ville; certes, aussi sous forme digitale au moyen de projections, films et photographies, pour l’occasion encadrés et retravaillés mais tout de même corporellement tangible en cette espace analogue. D’autre part, ces pièces seront présentées parallèlement dans un espace digital, sous la forme VLOG répondant également au nom si délicieusement désuet de “Art Club Hannover”. ( Est-il possible de parler d’un “Club” pour désigner un site sans restriction d’accès? et le concept de “Club”, n’est-il point synonyme de sélection et d’exclusivité? ). A priori, ces deux formes ne peuvent être identiques. Vous devez vous soumettre à l’espace et à la sensualité que chacun d’entre eux vous imposent en tant que médium. A fortiori, et bien au-delà d´une pâle représentation ou du documentaire de rigueur, la résultante est imminente. JRV, au moyen de cette intrication relative aux visuels et sonorités qu’utilise le VJ, travaille le mixage, en choisissant, additionnant, combinant, étoffant, il raconte. La première saison de sa série-web, avec ces six premiers épisodes, est dédiée aux six premiers plasticiens respectifs, développant une narration singulière, au travers de laquelle, JRV dépasse très vite son rôle de curateur pour devenir auteur…pour le moins en ce qui concerne ces points de départ, les oeuvres elles-mêmes échantillonnées.