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Hier kommt der Text ins Spiel. Mein Text. Dieser Text. Als Jean-Robert Valentin mich beauftragt, für sein Projekt zu denken und zu schreiben, gehe ich zunächst davon aus, dass er das Übliche will: Texte über die beteiligten Künstler, ihre Kunst und deren Bezüge. Assoziationsrahmen, Vermittlungsangebote, Einführungen. Katalogtexte. Eröffnungsreden. Es dauert, bis ich zunächst begreife, dass er nur einen einzigen Text braucht, den er mich vortragen lässt, um mich dabei zu filmen. Dass dieser Text ein eigenständiger Teil seiner Präsentationen sein soll, ein wenig Subtext, viel mehr aber noch Metatext. Eine übergreifende Parallelerzählung als Baukasten, Steinbruch oder Fundus für Valentins digitales Sampling. Gleichberechtigtes Material. Die eigentliche Herausforderung jedoch liegt in der Festlegung des Themas des beauftragten Textes. Oder eben vielmehr in deren fast völligem Fehlen. Größtmögliche Offenheit, Freiheit für eigene Setzungen. Nicht einmal um Medienkunst muss es gehen. Nicht einmal um zeitgenössische Kunst. Nicht einmal um Kunst. Eine Position zur Kultur solle es aber doch sein. Irgendwas mit Kultur also. Und wieder einmal die Binsenweisheit, oft genug schon mit Künstlern und Beziehungspartnerinnen erörtert: „Total freedom is like no freedom at all“. Oder als These zum Thema „irgendwas mit Kultur“ formuliert: Kultur findet statt auf dem Grat zwischen Festlegung und Beliebigkeit. Nennen wir diesen schmalen Möglichkeitsraum doch: Ergebnisoffenheit.
Ganzer Text unter:
http://www.zebrabutter.net/ergebnisof…
Traduction:
2.Un truc avec de la culture
C’est maintenant qu’intervient le texte. Mon texte. Ce texte. Quand J.-R. V. me confia cette tâche, pour disserter et écrire sur son projet, je supposais, dans un premier temps, qu’il désirait tout ce qu’il y a de plus habituel: un texte dédiés aux plasticiens invités, leurs manières d’agir et références respectives. Le cadre conventionnel, les propositions de médiation et tout autres introductions. Texte pour les catalogues et discours inauguraux . Ceci a un peut duré jusqu´à je comprenne qu’il n’avait besoin que d’un seul texte, ou plutôt d’un discours et de ma personne destinés á être filmés. Ce texte avec son propre caractère, ses sub-textes et meta-textes devrait faire partie intégrante de la présentation, une narration parallèle et globale destinées à une banque de données, encastrables à l’image d’un jeu de construction pour les , d’échantillons de J.-R. V.. En fait, le défi était de déterminer le sujet du texte commandé, ou bien plus encore, d’envisager ce qui dorénavant me venait à manquer, très certainement, limpidité et propre liberté d’application. Il ne s’agissait même plus d’art numérique, même plus d’art plastique, même plus d’art contemporain. Cela devait être une réflexion sur la culture. En fait, quelque chose avec de la culture. Une fois de plus cette évidence, souvent aussi relative à la vie privée, je dirai plus, cet objet de dissertation: La liberté totale c’est comme pas de liberté du tout. Ou encore, en tant que thème pour cette thèse, formuler „Un truc avec de la culture“. La culture se trouve à la lisière des valeurs établies et de celles que l’on est prêt à accepter. Déterminons un nom à cet espace possible restreint: L´ouverture d’esprit.